Première étape : Quitter le port

5- Les arguments pour convaincre

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25 réponses à “Les arguments pour convaincre”

  1. Hélène Goetgheluck dit :

    Mes meilleurs souvenirs sont au contact des animaux et mes balades en autonomie dans la nature, je n’ai que peu de souvenir du temps passé a l’école, merci Thierry pour ces réflexions qui nous aident a progresser dans l’aventure Parent 😉

  2. Candy Gill dit :

    cette formation est un délice pour moi. J’ai hate de découvrir la suite. Je me suis inscrite car je n’ai pas réussi jusqu’à maintenant à faire totalement confiance aux dispositions naturelles de mon enfant; je le contrains encore à faire des leçons et cela ne marche pas. Je sais au fond de moi, que je dois lâcher prise, c’est difficile mais je vais y arriver.

  3. Céline Wernet dit :

    Bonjour, nous venons de déscolariser nos enfants de 7 et 11 ans. Alors que mes 2 enfants et mon mari sont super heureux de cette décision et vivent très bien cette transition, j’ai BEAUCOUP de mal à me détacher de  » l’évidence scolaire « …. je suis persuadée que le système actuel est mauvais, mais j’aurais tellement aimé qu’ils s’y adaptent et vivent bien leur scolarité…. ou trouver une alternative scolaire mais il n’y en a pas là où je vis.

    C’est un moment difficile pour moi car j’ai l’impression qu’on a « échoué l’école »… mais en même temps je constate que mes enfants sont super heureux et épanouis… c’est assez contradictoire et égoïste comme sentiment…J’espère que nous trouverons un équilibre pour nous 4.
    Est-ce que vous avez déjà ressenti cela aussi ?

    • Thierry Pardo dit :

      Bonjour oui je comprends ce sentiment mais je n’ai jamais considéré l’école comme une réussite. Du coup je n’ai pas vraiment de pression quant à la réussite scolaire, le bonheur des enfants est le principal.

  4. Elodie Martre dit :

    Les meilleurs moments de mon enfance ont été effectivement les heures de jeux a l’extérieur, a s’inventer encore et encore ou bien un peu plus grande au collège, nous nou etions organisé pour participer à une manif… Quel bon souvenir !!!
    Merci thierry pour cette 1ere etape.

  5. Marie-Pierre Coupy dit :

    Thierry, bonjour, je n’ai pas la possibilité d’accéder à l’étape 2…c’est normal?

  6. Caroline Rivière dit :

    Bonjour Thierry, merci pour cette première étape très intéressante. Beaucoup de remises en question, mais de notre côté le chemin était déjà à moitié fait, donc ça ne fait que confirmer ce que l’on présentait depuis un moment. J’ai déjà hâte de voir la suite 😊

    Je n’ai pas répondu aux autres questions en commentaire, mais je vais le faire pour celle-ci, car elle m’interpelle. Mes meilleurs souvenirs d’enfance sont les moments que j’ai passé au contact de la nature. À la plage principalement car j’ai grandit en Nouvelle Caledonie. Mais aussi dans la forêt, à la rivière, etc. Aujourd’hui, je regarde mes filles et je me rends compte que, comme moi petite, le fait de jouer dehors en liberté au contact de la nature semble les rendre heureuse 😊

  7. LAURENE CLOUZEAU dit :

    Des souvenirs heureux de mon enfance… jouer des heures dans ma chambre, aller dans les champs me balader en vélo ou à pieds, une classe de neige mémorable en CM2 et des voyages en Allemagne soit scolaires soit avec l’école de musique. Un dernier, avoir participé à un projet musical en 6e : nous avions un studio dans le collège et chantions comme des stars derrière un magnifique micro 😀
    Finalement très peu voir pas de souvenirs en tant qu’élève dans une classe…

  8. Marie BLANCHET dit :

    Je me permets d’ajouter concernant les souvenirs d’enfance que la question mérite réflexion car là tout de suite,ne me vienne que des moments teinté de négatif; j’ai du mal à mobiliser le positif, donc je vais laisser ça traîner dans un coin de ma tête… Il doit bien rester un peu de place quelque part!

  9. Marie BLANCHET dit :

    Moi je suis un peu comme Emilie, j’aurais peur aussi de ne pas offrir à mes enfants un environnement assez varié et enrichissant et de ne pas leur donner un exemple de grande activité, curiosité… J’imagine les parents pirates comme ayant autant d’idées que leurs enfants, une nouvelle recette, un nouveau documentaire,… et moi j’ai l’impression de soit n’avoir pas d’impulsion de curiosité de ce type, soit de ne pas passer à l’action pour aller vers de nouvelles connaissances etc…
    Dans la suite de cette réflexion, je me dis que peut être c’est un faux problème dans le sens où, si je disposais de plus de temps et d’espace pour laisser les idées émerger, mon énergie se mobiliserait autrement, et pas tant à lutter contre ce que je ne veux pas au lieu de construire ce que je veux.
    Mais c’est incertain et peut être seulement un voeu pieux.
    Je ne sais pas si quelqu’un arrive à suivre mes triturations cérébrales 😀

  10. Louise Versieux dit :

    Bonjour! cette étape est super! J’ai une question: les apprentissages autonomes et naturels participent donc au respect de l’enfant…mais alors le recours à des spécialistes (type logopède, ergothérapeute, graphopédagogue par exemple) n’est pas une option étant donné que ça correspond peu souvent à un choix d’un enfant de 5 ans par exemple..? et donc à plus long terme, une faiblesse de prononciation ou une préhension compliquée d’un crayon par exemple pourrait confortablement s’installer…

    • Thierry Pardo dit :

      La plupart de ces petits dysfonctionnements se règlent tout seul avec le temps, il faut surveiller, faire des activités (jeux, chansons) qui aident, mais attention de ne pas médicaliser trop vite, trop tôt. Aucun adulte ne dit Cicron et Pestacle 🙂

      • Nelly et Christophe Nouhen Schneider dit :

        Thierry, on entend encore souvent et trop souvent à on goût, par des adultes Infractus et aréoport…lol…Belle Après midi
        ceci dit, je ne suis pas pour faire appel à un spécialiste de ci ou de ça, très vite et/ ou pour poser des diagnostiques qui ont pour but de mettre indéfiniment dans le moule.

  11. Routier Laure dit :

    Bonjour, je relève la question de Florine, du 6 avril, mon fils 14 ans à beaucoup de peine à se passionner par lui-même pour un sujet quelconque … (sauf trotte freestyle ;-). Il a été sorti de l’école il y a deux ans ! Période compliquée (adolescence) mais pas du tout de motivation à travailler par lui-même… comment faire pour poursuivre sans m’épuiser ?

    • Thierry Pardo dit :

      Ce n’est pas évident quand un ado ne semble pas être intéressé, mais il faut se rendre compte que parfois il est épuisé par une tempête hormonale de son âge, et que l’école a disqualifié durant des années ses envies et aspirations, il a donc appris que ça ne servait à rien d’en avoir. Ça prend du temps à guérir

  12. SPITZ Florine dit :

    Bonjour à tous, je suis ravie de faire partit de ce beau voyage et d’avoir embarquer sur ce navire!!! J’ai une question qui me vient suite au visionnage de cette vidéo: Comment faire si on a un enfant qui de part lui même ne se passionne pas spontanément par lui même mais qui attend des autres (frère ou maman, ou autres) pour se passionné pour quelque chose? Comment faire sans l’influencer dans un domaine ou dans un type d’activité?

    • Emilie dit :

      Peut-être lui laisser le temps ?
      Je ne sais pas quel âge ont tes enfants, mais moi je m’aperçois maintenant que j’avais beaucoup d’attentes et beaucoup de stress à ce sujet.
      Et finalement, mon aînée de 8 ans commence tout juste à s’intéresser à certaines choses 🙂

  13. Helene Beaumont dit :

    j’ai adoré jouer avec mes cousins et cousines dans la ferme de mes grands parents : s’enfoncer jusqu’au cou dans les grains de blé, jouer aux espions dans le grenier avec des cordes et des planches, écouter la radio dans le tracteur, descendre la pente de la cour a toute vitesse sur mon vélo… Des choses simples et en meme temps inoubliables pour moi. Je l’ai raconté à mes enfants qui veulent maintenant habiter dans une ferme !!

  14. Cindy Rochon dit :

    J’ai beaucoup apprécié jouer de la musique au secondaire et jouer au ballon dans la cour d’école. Jouer c’est toujours gagnant hihi.

    J’ai aimé jouer avec le peu de nature que j’avais accès c’est-à-dire des roches et des bouts de brindilles de bois.

  15. Emilie Nguyen Van dit :

    Un petit souvenir : je me rappelle que ma grand-mère m’apprenait les plantes qui soignent (verveine, menthe, sauge, menthe), je restais dans souvent dans le jardin et j’appréciait rester des heures à ramasser (et manger) les cerises. J’adore encore ce rapport à la nature et je suis actuellement en train de mettre en place mon potager en utilisant les connaissance de la permaculture.

  16. Emilie dit :

    Même si je suis convaincue que les apprentissages autonomes sont la meilleure façon d’apprendre, j’ai toujours peur justement que l’environnement que je propose à mes enfants ne soit pas assez riche…

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